Diversification des marchés : Quand le numérique devient un moteur d’expansion

Dans un contexte mondial de plus en plus en mouvement, où les règles du jeu économique changent rapidement, la diversification des marchés s’impose comme une stratégie incontournable pour les entreprises qui veulent croître, résister aux aléas et bâtir une image de marque forte. Laval économique accompagne les entreprises lavalloises à toutes les étapes de ce virage. Au cœur de ce soutien : une expertise numérique taillée pour l’international.

« La diversification, c’est plus qu’un moyen de réduire les risques. C’est aussi une façon d’aller chercher de nouveaux débouchés, de se positionner sur des niches et de renforcer sa crédibilité comme entreprise », explique Bonnet Huor, commissaire aux affaires internationales et main-d’œuvre à Laval économique.

C’est là qu’entre en scène Chérine Besson, conseillère au sein de cette même équipe, qui a développé, avec son expertise en commerce électronique, une offre d’accompagnement spécifique à l’exportation numérique.

Le numérique, moteur de croissance à l’international

« Aujourd’hui, le numérique n’est plus une option. C’est une nécessité, insiste-t-elle.  C’est une porte d’entrée vers de nouveaux marchés, un vecteur de croissance durable et résilient, et un outil d’analyse formidable pour évaluer le potentiel d’un territoire avant même d’y mobiliser l’ensemble de ses ressources. »

La stratégie qu’elle propose s’appuie sur un diagnostic numérique, qui permet d’évaluer la préparation d’une entreprise à l’exportation en ligne : qualité de la présence web, performance du site vitrine ou transactionnel, référencement, pertinence des fiches produits ou encore l’expérience client. Chaque point est analysé afin d’élaborer un plan d’action concret, cohérent et adapté aux ambitions internationales de l’entreprise.

Un accompagnement concret, accessible et personnalisé

Les services d’accompagnement numérique offerts par Laval économique sont pensés pour s’adapter à tous les profils d’entreprise, qu’elles soient déjà actives sur la scène mondiale ou qu’elles souhaitent s’y lancer. « On peut autant soutenir une entreprise qui veut vendre sur une marketplace qu’une autre qui cherche à optimiser son site vitrine pour séduire de futurs distributeurs », explique madame Besson.

Formations, parcours d’ateliers, diagnostics, mandats personnalisés, banque d’heures de consultation : l’équipe se positionne comme un véritable chef de projet numérique à la demande, capable d’agir aux côtés de l’entreprise, sans faire les choses à sa place.

« Notre rôle, c’est aussi d’outiller les dirigeants, pour qu’ils puissent décrypter les offres de services de prestataires, poser les bonnes questions, challenger les propositions au besoin et surtout faire le choix stratégique le plus pertinent au moment décisif », précise la conseillère.

Présence numérique et présence terrain : une complémentarité essentielle

Si le numérique permet une entrée plus rapide et économique sur un marché, il ne remplace pas tout. « L’un ne va pas sans l’autre, rappelle Bonnet Huor.  Pour bâtir des relations solides, il faut toujours aller sur place, rencontrer les partenaires, comprendre les réalités locales. Mais une présence numérique permet de rester visible, d’entretenir les liens et de renforcer la notoriété, sans ouvrir un bureau dans chaque pays. »

Cette complémentarité permet aux entreprises de mieux gérer leurs ressources et de viser plusieurs marchés à la fois, tout en gardant un certain contrôle sur leurs investissements.

Se préparer pour réussir son virage numérique

Pour les entreprises lavalloises, les outils sont là. Les ressources aussi. Mais encore faut-il savoir par où commencer. Et souvent, c’est là que le bât blesse.

« Les entreprises veulent se lancer, mais ne savent pas toujours comment, renchérit Chérine Besson. Elles retravaillent leur site sans stratégie claire, reçoivent des soumissions floues difficiles à interpréter, ou encore elles hésitent entre différentes plateformes sans savoir ce qui est réellement adapté à leur réalité. Nous, on est là pour démystifier tout ça. »

Et les prochaines années? « Tout part de la base, conclut-elle. Avant de penser aux marketplaces ou aux campagnes internationales, il faut s’assurer d’avoir un site bien conçu, une stratégie numérique claire, et une image qui inspire confiance. C’est là que commence toute bonne diversification. »

Envie d’explorer de nouveaux marchés de façon stratégique? L’équipe des affaires internationales de Laval économique, dont fait partie Chérine Besson, est là pour outiller, guider et éclairer les entreprises lavalloises dans leur virage numérique. Un allié de taille pour bâtir une présence solide et crédible sur des marchés variés.